Auteur(s) :

BAMOGO Koudougou Omar, NAKOULMA Goama, COMPAORE Georges.

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Résumé :

En favorisant un réseau social élargi et diversifié, l'activité physique permet de réduire les effets dus au stress et à la détresse psychologique en donnant aux personnes les moyens et les ressources nécessaires pour faire face à l'adversité et gérer les événements de la vie quotidienne. Elle permet l'intégration sociale qui entraîne différentes formes d'états psychologiques positifs chez une personne et contribuant à accroître la motivation à adopter des comportements sains et modulent la réponse au stress. Cela, Shriver l’a compris en lançant au début des années 1960 le mouvement de Special Olympics au profit des Déficients Intellectuels (DI). Pour comprendre l’expansion du mouvement au Burkina Faso et les actions qu’il mène en faveur de ce monde marginalisé, nous avons exploré son parcours diachronique et évalué son oeuvre à Ouagadougou et à Boussé. Cela a nécessité diverses approches, des outils de collectes des données, notamment des guides d’entretien et un questionnaire. Plusieurs acteurs ont été interrogés, à savoir les responsables de Special Olympics Burkina (SOB), les coaches, les athlètes et leurs parents. Au terme de l’étude, il ressort des actions fort appréciables sur le terrain. Il s’agit (i) de la valorisation des athlètes à travers leurs participations aux entraînements et aux compétitions, (ii) de la prise en charge sanitaire des athlètes, (iii) des efforts soutenus de déploiement de SOB sur le terrain depuis à travers l’augmentation du nombre de sous programmes et programmes locaux. Mots clés : Special Olympics Burkina, Déficient Intellectuel, Ouagadougou, Boussé.

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